Le laboratoire biologiquement.shop est spécialisé dans la promotion et la distribution de produits naturels de santé.
Une gamme de produits riches en antioxydants anti cancer naturels puissants pour retrouver ou garder la vitalité, recommandés aux enfants en phase de croissance, aux étudiants, aux sportifs et aux seniors.
Tous ces produits sont issu du commerce équitable.
Dans notre monde inversé, lorsqu’un remède est interdit, c’est qu’il est efficace – de plus s’il est bon marché, c’est une raison supplémentaire pour en faire l’objet d’une guerre sans merci de la part de Big pharma qui ne supporte pas une concurrence mettant en péril son chiffre d’affaires.
Nous avons pu constater et subir à maintes reprises cette attitude criminelle au cours de l’aventure Corona covid sur laquelle je ne vais pas revenir ici.
L’Artemisia Annua fait bien sûr parti du lot des remèdes mis hors d’état de nuire… à l’empire mondial de l’argent. Cette plante aromatique a pourtant été largement utilisée par la médecine chinoise depuis des siècles pour lutter contre les fièvres (dont la malaria).
Les découvertes d’une pharmacienne chinoise
C’est à la suite des ravages du paludisme (malaria) dans les rangs de l’armée nord-vietnamienne, soutenue par la Chine, que Mao Tsé Toung a mis en route en 1967, en pleine révolution culturelle, le projet « 523 » (ainsi nommé parce qu’il a été lancé le 23 Mai 1967). C’était un programme secret de recherche sur le traitement du paludisme, basé sur les études de la MTC (médecine traditionnelle chinoise).
L’Académie de Médecine Traditionnelle Chinoise a confié cette recherche à l’un de ses membres, Youyou TU, pharmacienne de 36 ans, dont le nom est resté totalement ignoré jusque dans les années récentes. Ce n’est qu’en 2005 que le nom de Youyou TU a été associé à la découverte de l’artémisine, et qu’elle est devenue célèbre. En 2011, Youyou TU a reçu le prestigieux prix Lasker DeBakey Clinical Research, et le prix Nobel en 2015. NOTA : Comme d’habitude, Big Pharma qui fait feu de tout bois, a cherché à breveter des copies de synthèse (variétés allotropiques dont l’arrangement moléculaire ne peut être conforme au schéma naturel) – mais d’une façon médiocre, vu que d’abord dans la nature il existe des synergies parfaites de mélanges complexes élaborées au travers de millions d’années d’adaptations, et d’autre part parce qu’il est bien connu que les molécules organiques isolées sont toujours moins efficaces et même souvent toxiques. Voilà pourquoi on nous parle toujours d’ARTEMISINE pour nous faire oublier la plante de base – et en intraveineuse, s’il vous plait !… çà fait sérieux et c’est inaccessible aux particuliers.
Hélas, l’ARTEMISIA ANNUA (armoise annuelle) qui était déjà une plante rare est devenue pratiquement introuvable en France. Par contre, Internet regorge d’ARTEMISIA VULGARIS qui se limite à un simple remède de confort ne dérangeant pas l’establishment.
Pendant ce temps, on mourrait du paludisme en Afrique
Selon les statistiques de l’OMS, 3 milliards de personnes vivent en zone impaludée et 228 millions de cas ont été dénombrés en 2018, dont 93% vivant en Afrique. Le paludisme tue en moyenne 400.000 personnes par an dont 70% sont des enfants de moins de 5 ans.
Sachet de 100 gr de tisane de Artemisia annua biologique du laboratoire biologiquement.shop
C’est là que Jérôme Munyang un jeune médecin congolais, lui-même touché par le palud, ayant découvert par un ami la tisane d’artémisia annua et l’ayant essayée, s’est retrouvé guéri en quelques jours.
Enthousiasmé il prit le risque d’en faire une vocation – mais voyez son récit dans ce clip de 5 min 52 : (depuis le Dr Jérôme Munyang a été empoisonné et n’embête donc plus le lobby pharmaceutique !!! mais heureusement, les fermes de la culture d’Artemisia Annua continuent leur chemin)…
Depuis, une chaine associative nommée « La maison de l’artémisia » s’est développée rapidement sur différents sites africains pour cultiver des hectares de la plante et fournir cette tisane à bon marché sur l’ensemble du continent. (C’est ce qui explique que l’Afrique a été très peu touchée par l’épidémie mondiale du covid.)
Voici quelques chiffres clés :
o 1 ha => entre 10 000 et 20 000 plants => en moyenne 4 tonnes de plantes sèches => 100 000 traitements
o 1 sachet 40 g de tisane => 1 traitement curatif (5 g de feuilles et tiges séchées dans 1 L d’eau bouillante) par jour => 2 €
o 1 Maison de l’Artemisia peut manager un réseau de producteurs sur 5 ha => 500 000 bénéficiaires potentiels
Le coup de pub du Président Malgache : « Un remède miracle contre le CCV19 »
Le 20 avril 2020, le Président malgache Andry Rajoelina annonçait fièrement avoir trouvé le remède miracle contre le corona virus sous forme d’une boisson au contenu mystérieux révélant, tout au plus, qu’elle contient des feuilles d’Artemisia Annua séchées.
Pour le Président c’était déjà une certitude quand il déclarait : « Son efficacité dans l’élimination des symptômes a été prouvée pour le traitement des patients atteints du Covid-19 à Madagascar ».
Mais en dépit des résultats convaincants sur le terrain face à l’épidémie qui alignait les morts en France (sauf chez le Pr Raoult), l’OMS et les valets galonnés de Big Pharma voulant ignorer l’état d’urgence, réclamaient les sacro saintes études protocolaires, dites « scientifiques » (qui durent des années et permettent de gagner du temps aux marchands de poisons).
Indications avérées de l’Artemisia Annua
Son indication de base est bien sûr le paludisme, mais on a découvert depuis une efficacité exceptionnelle concernant :
Bilharziose (ver des marais africains)
Covid 19
Grippes à corona
Maladie de Lyme
Paludisme (Malaria)
Tuberculose pulmonaire
Ulcère de Buruli
(D’autres applications restent probablement à découvrir)
Tisane de feuilles et tiges (Artemisia annua ou afra)
Préparation et posologie
La posologie ci-après est issue de la Médecine Traditionnelle Chinoise et a été utilisée par l’association des Maisons de l’Artemisia africaines ainsi que dans la plupart des études.
Pour les personnes semi-immunisées = vivant en zone impaludée.
Pas d’étude clinique sur les voyageurs, diasporas, ….
Préparer un litre d’eau bouillante
Mettre 5g feuilles sèches ou 20g de feuilles fraiches dans l’eau bouillante (100°C avec gros bouillons) et laisser encore bouillir pendant 1 minute.
Retirer du feu, couvrir et laisser infuser pendant 15 minutes avant de filtrer.
Pour guérir du paludisme chez les personnes semi-immunisées et de la bilharziose (schistosomiase) médicalement diagnostiqués :
Boire 1 L par jour (33 cl matin, midi et soir) pendant 7 jours, même si les symptômes disparaissent avant la fin du traitement.
Pour les enfants de moins de 5 ans (- de 15 kg), diminuer la prise de moitié : 50 cl (1/2 L) d’une tisane à 5 g/L En prévention : Boire 33 cl 1 jour sur 2 (adultes et enfants).
Pour soigner la tuberculose pulmonaire et l’ulcère de Buruli (études non publiées) :
Boire 1 L par jour (une tasse de 33 cl matin, midi et soir) de tisane d’Artemisia annua pendant 3 semaines.
Conservation : les feuilles et tiges coupées en tronçons de 2 cm ont une durée d’action pendant au moins 3 ans.
Par contre, je ne recommande pas la formule pratique poudre de feuilles et tiges qui risquent d’avoir été altérées par la chauffe du broyage et ne se gardent que 6 mois maximum en raison de l’oxydation.
Recommandations
Éviter la prise de paracétamol, d’aspirine et de fer pendant le traitement avec l’Artemisia.
Les antioxydants sont antagonistes aux molécules actives de l’Artemisia.
En traitement curatif, éviter la prise simultanée de vitamine C en comprimés.
Pour atténuer l’amertume de la tisane, quelques gouttes de jus de citron peuvent être ajoutées dans la tisane bouillante. La vitamine C contenue dans le jus de citron est détruite au-dessus de 60°C.
NOTA : Attention à la circulation de FAUX sachets de tisane d’Artemisia Annua.
L’Artemisia Annua proposée dans cet article est diffusée depuis un pays neutre, et provient d’un endroit très protégé de la pollution de l’Ouzbékistan où cette plante est particulièrement abondante et de grande qualité.
La cueillette des feuilles et tigelles est faite uniquement à la main et le séchage effectué dans les règles de l’art avant pulvérisation.
Formule Teinture Mère
Peut être jugée plus pratique ou plus simple pour certains
En curatif : 10 à 15 gtts en fonction du poids + eau 2 fois par jour
En préventif : 10 à 15 gtts 1 fois tous les 2 jours
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Un remède possible à base d’Artemisia annua contre le Coronavirus ?
La nature offre un luxuriant panel floristique. Certaines plantes possèdent des vertus exceptionnelles qui ont aidé la médecine à progresser dans la recherche de remèdes contre différentes maladies. Parmi ces plantes, on trouve l’Artemisia annua ou l’armoise annuelle. Qu’entend-on par plante médicinale ?
Lorsqu’une plante contient un ou des principes actifs bénéfiques pour la santé humaine ou animale, elle peut être qualifiée de plante médicinale. Une plante peut posséder un ou plusieurs principes actifs dans leurs organes : les feuilles, les tiges, l’écorce, la fleur, le pétale… toutes les parties d’une plante peut servir, mais chacune a des fonctions différentes. Aussi, il est important d’avoir un minimum de connaissance sur la plante qu’on souhaite utiliser. Une plante médicinale contre le Coronavirus ?
Les recherches ne cessent d’évoluer dans le domaine médical. Plusieurs disciplines ont recours aux plantes dans leur recherche pour le traitement de différentes maladies. L’homéopathie, la phytothérapie, l’aromathérapie ou encore l’ethnopharmacologie en sont des exemples. L’expansion actuelle du Coronavirus pousse de plus en plus de chercheurs vers la médecine traditionnelle afin de trouver un remède qui puisse contrer cette pandémie de Covid-19. Les symptômes apparents du Coronavirus au paludisme ont suscité dernièrement l’intérêt sur une plante en particulier. Cette plante, c’est l’Artemisia annua ou armoise annuelle. La médecine traditionnelle chinoise en use pour traiter la fièvre et le paludisme depuis des siècles. Cependant, l’OMS décommande la monothérapie à base d’artémisinine. L’artémisinine est la molécule active de l’Artemisia annua et pour être efficace, elle doit être combinée avec d’autres traitements.
Artemisia annua bio du laboratoire Biologiquement
La thérapie par l’Artemisia annua ou l’armoise annuelle
Si l’Artemisia annua est plus connue pour son efficacité antipaludéenne, elle s’utilise aussi bien dans le cas de malaria, de bilharziose, dans la destruction de cellules cancéreuses et récemment, dans la lutte contre la pandémie du Covid-19. Elle s’emploie en tisane, mais est disponible également sous d’autres formes : en huiles essentielles, en gélule, en comprimé, en injection ou en suppositoire. Sa propriété antivirale a été bénéfique contre les virus de type herpès ou VIH, des recherches sont en cours pour déterminer si elle l’est également contre le Coronavirus. Deux manières ont toujours été appliquées pour soigner une maladie virale comme le Coronavirus : en agissant sur le milieu permettant la transmission de la maladie, ou en tuant le virus lui-même. Les molécules présentent dans l’Artemisia annua, comme la quercétine et la lutéoline, jouent dans la première catégorie, en agissant au niveau de la protéine réceptrice (ACE2) des cellules du poumon et la protéase (TMPRSS2), deux protéines clés qui peuvent activer l’entrée du SARS-Covid. L’Artemisia annua serait donc la plante médicinale qui viendrait à bout de ce virus mortel. Des pays se lancent dans des études pour tester l’Artemisia annua
Plusieurs pays s’intéressent désormais à l’utilisation de l’Artemisia annua pour soigner les malades du Covid-19. La Chine, premier pays touché par le Covid-19 a traité ses patients avec des mélanges de plantes médicinales, parmi elles, l’Artemisia annua. Les résultats ont été plus que probants. En Allemagne, le 8 avril 2020, l’Institut Max Planck de recherche sur les colloïdes de Potsdam a lancé une étude cellulaire pour mener des tests dans le but de déterminer les effets de cette plante sur le Coronavirus. Suivi de près par l’association Maison de l’Artemisia qui milite pour l’obtention d’un essai clinique dans le même objectif. Tandis que Madagascar (Afrique de l’est) s’est carrément jeté dans le lancement d’un remède à base d’artémisinine. C’est l’Institut malgache de recherches appliquées (IMRA) qui s’y est attelé. Sous forme de tisane, le Covid-Organics, nom attribué à ce nouveau remède, permettrait de lutter contre la pandémie de Covid-19.
Où trouver, où acheter de l’Artemisia annua?
La vente de l’Artemisia annua ne peut pas se faire en pharmacie en france, par contre vous pouvez acheter de l’Artemisia annua armoise annuelle sur la boutique du laboratoire Biologiquement à l’adresse biologiquement.shop
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Qu’est-ce que l’armoise annuelle bio ? En médecine naturelle et traditionnelle chinoise, Artemisa Annua ou armoise annuelle bio occupe une place de choix. Cette plante herbacée, à la tige dressée et peu ramifiée, fait partie de la grande famille des Asteraceae, aux côtés de 23 500 autres espèces. L’armoise annuelle bio est originaire de Chine où elle pousse en abondance dans les zones tempérées chaudes.
Elle s’est ensuite disséminée dans toute l’Europe centrale et méridionale, au Canada et aux États-Unis. L’armoise annuelle bio se plaît aussi bien dans les environnements rocheux, salins, semi-désertiques que boisés.
La Chine, l’Europe de l’Ouest et l’Afrique sont actuellement les principaux producteurs d’armoise annuelle bio. La récolte des feuilles s’effectue juste avant la floraison (en juin, juillet) avant d’être séchées puis réduites en poudre pour un usage en tant que complément alimentaire.
L’armoise annelle est un anti cancer naturel comme le feuille de graviola corossol
En effet, l’armoise annuelle possède d’innombrables utilisations médicinales et curatives. Si elles ne sont diffusées que depuis la redécouverte de la plante en 1970, elles sont reconnues depuis des siècles en médecine traditionnelle chinoise.
Mais quelles sont les origines de l’armoise annuelle bio ? Le terme botanique « armoise » tire son nom du latin Artemisia faisant référence à Artémis, déesse protectrice des femmes et de l’accouchement, de la nature sauvage et de la Lune dans la mythologie grecque. Et pour cause : l’armoise la «plante féminine» par excellence.
On pensait alors qu’elle était capable de régulariser les cycles menstruels et d’aider les femmes enceintes pendant l’accouchement. Mais, durant cette période, l’armoise annuelle bio était aussi utilisée pour soulager les jambes lourdes et fatiguées des légionnaires romains. Raison pour laquelle elle était couramment plantée le long des chemins…
Enfin, en Chine et dans tout l’Orient, l’armoise annuelle bio était utilisée en moxibustion (un type d’acupuncture sans aiguille à base de chaleur, de plante broyée et séchée) pour apaiser les douleurs et cautériser les lésions.
Aujourd’hui, l’armoise bio n’a rien perdu de ses vertus légendaires et fait l’objet de nombreuses recherches médicales. Sa substance active, l’artémisinine, a d’ailleurs beaucoup intéressé les scientifiques en raison de son action efficace dans le traitement du paludisme.
Découvrez ci-dessous les principales indications de l’armoise annuelle bio dont la première utilisation en médecine traditionnelle chinoise remonte à plus de 2000 ans…
Les bienfaits et propriétés de l’armoise annuelle bio L’armoise annuelle bio fait partie des plantes médicinales les plus conseillées dans le traitement des troubles digestifs : digestion difficile, coliques, diarrhées chroniques, flatulences… Les propriétés digestives de l’armoise bio sont dues à sa teneur en principes actifs amers qui stimulent la sécrétion de sucs digestifs, chargés d’aider à la digestion en dégradant les aliments.
Cette action favorise dans le même temps l’appétit (plante apéritive). En raison de ses propriétés carminatives, elle est aussi efficace pour faciliter l’évacuation des gaz intestinaux et de l’estomac.
Enfin, l’armoise annuelle bio était surnommée l’« herbe aux vers » car elle constitue un puissant vermifuge en éliminant les vers intestinaux. Cette herbe médicinale est en effet capable d’éliminer un grande variété de parasites intestinaux en fragilisant les membranes de ces organismes.
Vous l’aurez compris : l’armoise annuelle bio est une alliée précieuse pour tous les troubles digestifs.
Mais à quoi sont dues toutes ses propriétés ? L’armoise annuelle bio est en grande partie composée d’huiles essentielles (dont de l’azulène, anti-inflammatoire et cicatrisant), de vitamine C, de flavonoïdes et de tanins. On y retrouve également de l’artémisinine , la substance active médicamenteuse isolée de la plante et qui fait l’objet d’une utilisation courante en médecine traditionnelle chinoise.
En 2015, une importante avancée dans le traitement du paludisme et de la malaria a eu lieu. Tu Youyou, une chercheuse en pharmacie chinoise, a alors reçu le Prix Nobel de médecine après avoir mis au point un traitement particulièrement efficace contre le paludisme, à base d’armoise annuelle bio.
En réussissant à isoler l’ingrédient actif de l’armoise bio, l’artémisinine, Tu Youyou a mis à jour « le plus grand espoir mondial contre le paludisme » selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et l’un des traitements actuels les plus efficaces contre le paludisme .
Elle s’est notamment appuyée sur des recettes issues de la médecine traditionnelle chinoise (168 av. J.-C) dans laquelle les feuilles et les branches de la plante étaient trempées dans de l’eau pendant une nuit puis bues en tant que traitement contre le paludisme. L’action de l’artémisinine est double : elle bloque l’enzyme qui permet au parasite de se développer et détruit les membranes du parasite .
D’autres études, menées par l’Université de Washington, mettent en évidence l’action puissante de l’armoise annuelle bio contre un grand nombre de cancers, notamment celui du sein, de la prostate ou des cellules de la moelle osseuse (leucémie). Comme le Graviola corossol, un anti-cancer naturel, les substances de l’armoise bio semblent extrêmement sélectives car elles ciblent directement les cellules cancéreuses sans endommager les cellules saines de l’organisme contrairement à la chimiothérapie.
Une vaste étude menée en 2004 par les Drs Narenda Singh et Henry Lai sur l’artémisine a permis de découvrir que le traitement à base d’armoise annuelle bio a significativement diminué le nombre de cellules cancéreuses et favorisé le phénomène l’apoptose c’est-à-dire l’autodestruction des cellules cancéreuses . D’autres études sont actuellement en cours pour mieux comprendre le mode d’action et les éventuels effets secondaires induits par la prise d’Artemisa Annua.
Les contre-indications et effets secondaires de l’armoise annuelle bio L’armoise annuelle bio, prise aux doses appropriées et pendant de courtes périodes, ne présente pas d’effets secondaires. Cependant, il est toujours conseillé de demander l’avis d’un médecin avant toute première prise.
Comme toutes les plantes contenant de la thuyone (absinthe), l’armoise peut être toxique à forte dose, provoquer des allergies ou une intolérance se traduisant par des douleurs abdominales, diarrhée, nausée et vomissements… En usage interne, la posologie à respecter est de 1 à 3 g d’armoise bio en poudre par jour, ou 6 gélules, à prendre avant les repas.
La prise d’armoise annuelle n’est pas conseillée pendant la grossesse et en période d’allaitement. Des interactions existent également avec les inhibiteurs des canaux calciques et les médicaments antifongiques.
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Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. On pensait à l’origine que cette maladie provenait des zones marécageuses, d’où le nom de paludisme dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause du paludisme, un parasite unicellulaire appelé plasmodium. Ils ont ensuite découvert que le parasite était transmis d’une personne à une autre par les piqûres d’un moustique Anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses oeufs.
Actuellement, environ 40% de la population mondiale qui vit dans les pays les plus pauvres du monde sont exposés au paludisme. La maladie était jadis plus étendue mais elle a été éliminée dans de nombreux pays tempérés au milieu du XXe siècle. Le paludisme touche aujourd’hui les régions tropicales et subtropicales et il est responsable chaque année de plus de 300 millions de cas de maladie aiguë et d’au moins un million de décès par an.
Quatre-vingt-dix pour cent des décès dus au paludisme surviennent en Afrique, au sud du Sahara, principalement chez les jeunes enfants. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes. De nombreux enfants qui survivent à un accès de paludisme grave peuvent présenter des troubles de l’apprentissage ou une atteinte cérébrale. La femme enceinte et l’enfant à naître sont aussi particulièrement vulnérables face au paludisme, cause majeure de mortalité périnatale, de faible poids de naissance et d’anémie maternelle.
Il existe quatre types de paludisme humain dus à Plasmodium vivax, P. malariae, P. ovale et P. falciparum.
P. vivax et P. falciparum sont les plus courants. L’infection à falciparum est la plus sévère et peut entraîner la mort du patient. Le paludisme à Plasmodium falciparum est très répandu en Afrique subsaharienne où le taux de mortalité extrêmement élevé lui est en grande partie imputable. Des signes inquiétants témoignent de l’extension du paludisme à P. falciparum à de nouvelles régions et de sa résurgence dans des zones où il avait été éliminé.
Le parasite du paludisme pénètre dans l’organisme de l’hôte humain lorsqu’un moustique anophèle contaminé fait un repas de sang. Le parasite subit alors une série de transformations au cours de son cycle de vie complexe. Grâce à ces changements, les Plasmodies échappent au système immunitaire, contaminent le foie et les globules rouges, et prennent finalement une forme capable d’infecter à nouveau un moustique lorsqu’il pique une personne contaminée.
Dans le corps du moustique, le parasite subit de nouvelles transformations jusqu’à ce qu’il soit capable de contaminer à nouveau un hôte humain lorsque le moustique femelle prend son repas de sang suivant, 10 ou 14 jours plus tard. Les symptômes du paludisme apparaissent de 9 à 14 jours environ après la piqûre du moustique infecté, laps de temps variable selon l’espèce de plasmodium. En règle générale, le paludisme s’accompagne de fièvre, céphalées, vomissements et autres symptômes de type grippal. En l’absence de médicaments ou en cas de résistance des parasites aux médicaments disponibles, l’infection peut évoluer rapidement et devenir potentiellement mortelle. Le paludisme peut tuer en contaminant et détruisant les globules rouges (anémie) et en obstruant les capillaires qui véhiculent le sang jusqu’au cerveau (paludisme cérébral) et d’autres organes vitaux.
Outre les actions préventives, l’OMS recommande la prise de médicaments pour soigner les personnes infectées. Les options thérapeutiques actuellement recommandées par l’OMS sont les suivantes: Artemether-Lumefantrine ; Artesunate plus Amodiaquine ; Artesunate plus Sulfadoxine-Pyrimethamine (SP) ; Artesunate plus Mefloquine. Notons que tous ces médicaments sont produits avec la molécule artemisinine, celle-ci étant extraite des feuilles de la plante Artemisia annua. Lutter contre la malaria en Afrique en Asie et ailleurs : l’Artemisia annua
Cependant, une chose nous interpelle: si nous avons de bons médicaments, pourquoi recense-t-on encore beaucoup de cas de malaria? En effet, le rapport 2008 de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a annoncé qu’en 2006 on a recensé 880.000 décès dus à la malaria, dont 85% d’enfants de l’Afrique sub-Saharienne. Le problème demeure complexe, car il ne suffit pas d’avoir de bons médicaments, encore doivent-ils pouvoir parvenir dans les lieux les plus éloignés et difficiles d’accès. En fait, même avec ces produits le problème demeure toujours lorsqu’on veut faire la distribution régulière dans des régions éloignées comment c’est le cas de la figure 2. Il existe des communautés tellement isolées dans la région Amazonienne et en Afrique qu’une tisane à la disposition des populations, du moment qu’elle prouve son efficacité et sa sécurité, peut être très utile dans l’arsenal thérapeutique contre le paludisme.
Quelles sont les conditions pour obtenir une tisane avec des qualités thérapeutiques ?
Voici un peu de l’histoire de notre recherche. L’Artemisia bio existe à l’état sauvage et nous nous sommes basé sur la grande variabilité génétique des plantes sauvages pour sélectionner la meilleure d’entre elles, celle qui permet d’améliorer la teneur en principe actif artemisinine bio. C’est justement ce que nous faisons dans le programme visant à améliorer l’espèce qui dispose aujourd’hui d’une population uniforme, y compris pour la région de l’ Équateur où se trouve le plus grand nombre des cas de paludisme. Entre ces deux images (fig.3 et 4), presque 20 ans se sont écoulés et la teneur et les rendements en principe actif sont passés de 0,01 à 1%. De nos jours, on peut obtenir environ 25 kg d’artemisinine bio par hectare cultivé d’Artemisia bio.
Nous allons exposer rapidement les principaux moments de ce processus. Un grand pas dans l’amélioration de l’espèce a été la connaissance de la longueur du jour où l’Artemisia bio entre en floraison. Les tentatives pour démarrer l’amélioration dans des lieux de latitude basse, entre 0o et 20o, où les journées sont trop courtes, c’est-à-dire moins de 12 heures, ont été désastreuses, car la plupart des plantes fleurissaient précocement et étaient de petite taille pour la sélection. On ne pouvait donc pas choisir les meilleures donc on pouvait se tromper en sélectionnant des plantes de faible biomasse ou de faible teneur en artemisinine bio.
Ce n’est qu’en 1995, lorsque j’ai reçu une bourse pour faire mon doctorat à Mediplant en Suisse avec M. Nicolas Delabays, que nous avons fait de vraies avancées au niveau de la sélection. À la latitude de la Suisse, les plantes d’Artemisia bio ne fleurissaient pas précocement et on a pu les choisir en fonction de la biomasse et de la teneur d’artemisinine bio à partir des génotypes venus de Chine et du Vietnam. Nous avons aussi trouvé le meilleur moment pour l’ensemencement dans les deux hémisphères pour que le développement se produise dans des jours de longueur appropriée. De nombreuses évaluations de la biomasse et de la teneur d’artemisinine ont été faites dans ces populations. C’est pourquoi il est avantageux de savoir quelle est la molécule active, quelles sont ses caractéristiques, où elle est située.
L’artemisinine bio est une lactone sesquiterpénique, non volatile, de voie biosynthétique similaire à celle des terpènes, produite et stockée dans les trichomes sur les feuilles. Aujourd’hui, l’analyse chimique est encore plus précise. La molécule qui a d’abord été considérée comme artemisinine bio était en fait un mélange de d-oxy artemisinine et d-hydro artemisinine bio. Dans une population, on trouve des plantes qui présentent une teneur de principe actif proche de la moyenne, mais aussi quelques-unes en dehors de la moyenne qui sont, par contre, très intéressantes pour la sélection.
Avec ces plantes, nous avons fait des clones, des boutures, et puis des croisements dialléliques, en analysant les descendances. Encore en Suisse, nous avons soumis les meilleurs progénies aux conditions climatiques brésiliennes, c’est-à-dire que nous les avons mises dans une chambre où la longueur du jour était similaire à celle du Brésil. Ainsi, seuls les génotypes de floraison tardive ont été sélectionnés. Ensuite, de retour au Brésil, nous avons continué le processus mais cette fois, dans une latitude encore plus basse, dans la région amazonienne, près de l’Équateur. Les semences issues de ces populations approvisionnent les plantations dans plusieurs pays. Elles sont très petites, 1g = 10 mille graines.
Un autre point important est de reconnaître le meilleur moment pour la récolte, lorsque les feuilles ont le niveau le plus élevé d’artemisinine bio. Ce stade est très proche de la floraison. En pratique, on reconnaît ce stade lorsque les feuilles sont espacées sur les tiges et la plante ne possède pas habituellement les feuilles à la base.
Nous avons trouvé particulièrement intéressante notre dernière plantation d’Artémisia bio (2007-2008) parce qu’elle a été conduite à grande échelle et on a pu calculer le coût de la production agricole. Nous avons préparé quarante mille plantes pour les cultiver sur une surface de trois hectares.
Nous avons utilisé une machine italienne, Sathya, (Fig.5) pour faire le transfert. C’est une machine à très haut rendement qui peut mettre au champ environ onze mille plantes par heure. On peut régler l’espacement entre les plantes et entre les lignes, et les plantes sont bien placées debout.
Arrivant à proximité du point de récolte, les plantes sont assez uniformes et très hautes (près de 3 mètres) chez nous. Comment fait-on pour couper et sécher 3 hectares ou plus? Si nous travaillons sur une petite échelle, il n’y a pas de problème. Il suffit de découper la tige principale et de mettre en place les feuilles à sécher au soleil. Ce processus, nommé le fanage, favorise l’augmentation du niveau d’artemisinine bio par une réaction de photo-oxydation, dans ce cas, réalisée par le soleil.
Mais à grande échelle, la récolte doit être rapide pour empêcher les changements de stade dans la population et surtout pour éviter la floraison.
En effet, le fanage commence lorsqu’on met les plantes coupées allongées sur leurs propres pieds.
C’est une façon intéressante d’optimiser l’opération de coupage et aussi un moyen d’arrêter le développement de la plante tout en évitant la perte de son principe actif.
Ensuite, on passe à la distribution sur une bâche en plastique pour terminer le séchage (Fig.7).
À la fin de chaque jour on fait un gros rouleau afin d’éviter le gain d’humidité. Le lendemain matin, on le reouvre afin de poursuivre le séchage au soleil.
Une autre opération consiste à séparer les feuilles et les tiges. On bat les plantes et… vous savez ce qui se passe? L’équipe devient très calme après ça !!!
Le produit est déjà très propre, mais il y a encore de nombreuses petites tiges qui peuvent être enlevées à l’aide d’un tamis à mailles de 5 mm.
Le rapport de poids qui est séparé donne un chiffre de près de 50%. La biomasse s’est donc fortement réduite. On doit faire attention de ne pas réduire les revenus agricoles, ou, au contraire, il faut payer davantage, car le produit va augmenter la performance industrielle, s’il doit être vendu à ce propos. Il est raisonnable que l’acheteur paie le produit conformément à sa qualité, parce qu’il doit alors utiliser moins de solvant dans le processus de fabrication et son rendement sera plus élevé.
De tout ce qui a été récolté, seule une tonne de feuilles séchées est obtenue par hectare.
Avec toutes ces opérations, effectuées pratiquement de manière manuelle, nous avons obtenu chez nous un coût de production d’environ US$4,00 par kg de feuilles séchées. Dans le coût, les principaux items sont la main d’oeuvre et la location de la terre.
Donc, si chaque traitement avec la tisane en utilise 35g, un kilo de feuilles peut nous donner 28 traitements, à 0,15 centième de dollar le traitement.
Il est vrai que ce processus de production sert aux industries d’ingrédients actifs ou bien à l’industrie pharmaceutique pour obtenir ses dérivés, mais pas seulement dans ce but. Nous avons pu obtenir une plante améliorée, avec plus de 1% d’artemisinine bio, qui sert également à obtenir une forme thérapeutique simple et possiblement de meilleure qualité que la tisane traditionnelle. Il s’agit vraiment d’une nouvelle génération de thés, comme on peut le schématiser dans la figure 9.
En fait, lorsque nous avons trouvé, en 1995, à Mediplant, les génotypes les plus riches, nous avons fait un test simple. L’idée était de savoir combien d’artemisinine bio pourrait être extraite par infusion. D’abord, nous avons fait bouillir l’eau et nous l’avons versée sur les feuilles. Puis, nous avons fait bouillir l’eau et les feuilles simultanément. Et nous avons obtenu environ 55% d’artemisinine bio récupérée dans la tisane dans le premier cas, ce qui présentait sûrement un potentiel d’amélioration de l’usage traditionnel. À la suite, d’autres expériences nous ont montré que l’extraction avec du lait était encore plus efficace. On a pu extraire entre 80-90% d’artemisinine bio présente dans les feuilles. Plus le lait est gras, meilleure sera l’extraction.
Récemment une idée géniale est venue de Nambie, par M. Patrick Hilger (information personnelle): on peut utiliser le fond de la tisane pour préparer une soupe pour le repas suivant et, dans ce cas, le patient aura ingérée davantage de composants anti-malaria en compensant une éventuelle extraction faible.
Dans les années suivantes, le groupe allemand ANAMED a diffusé avec succès cette tisane dans différents pays en l’Afrique. Une chose qui nous a surpris et qui est en faveur de la tisane est que celle-ci contrôle la parasitaemia du P. falciparum à une dose de 1/3 par rapport à la posologie recommandée quand on utilise l’artemisinine bio pure intégrée dans les médicaments contre la malaria.
Plus récemment, des études scientifiques de pharmacologie et clinique, menées en Afrique suggèrent le potentiel de la tisane avec la plante améliorée.
Au Brésil, nous avons le programme national de lutte contre le paludisme disposant de médicaments antipaludiques enregistrés tels que le Coarten ou l’artesunate+mefloquine en dose fixe, lancé récemment, qui sont des produits sans doute modernes et efficaces. Mais le problème demeure toujours lorsqu’on veut faire la distribution régulière dans des régions éloignées. En fait, le déplacement dans ces régions est toujours difficile.
En 2006, soutenus par l’ ONG italienne ICEI, nous avons pu conduire l’essai agronomique sur le terrain dans la région amazonienne pour faire la sélection de génotypes adaptés à la région. À cette époque, certains natifs ont voulu utiliser la plante pour traiter le paludisme, et le résultat a été excellent. Les jours suivants, nous avons pu constater le grand intérêt pour la vulgarisation du thé d’Artemisia bio dans les communautés locales. Il est intéressant d’observer cet aspect d’adhésion facile à un traitement à base de plantes. On ne peut pas dire la même chose pour les drogues synthétiques, à cause de l’historique de leurs effets secondaires.
L’enthousiasme était tel que nous avons dû intervenir pour éviter de perdre le contrôle et essayer de bien organiser cette utilisation. On l’a fait par des représentations théâtrales, et des bandes dessinées pour les communautés qui n’ont pas de langue écrite.
Ces dessins, malgré leur simplicité, apportent beaucoup d’informations techniques. Il y a d’abord la question sociale de la maladie : outre le patient, sa femme et ses enfants qui ne peuvent pas aller travailler pour prendre soin du patient, et puis, la manière correcte de faire le thé (faire bouillir l’eau et la verser sur les feuilles, la quantité de feuilles – la dose),
Le régime du traitement: tous les jours, en prendre au petit matin, à midi et le soir, pendant 5-7 jours, et enfin, le résultat: la famille heureuse.
Résistance du Plasmodium aux différentes thérapies
Beaucoup de personnes nous ont interrogé sur le problème de la résistance et à ce propos, nous pouvons illustrer notre hypothèse par la représentation de la figure 14.
D’abord, la lutte contre le Plasmodium est dangereuse lorsque, le Plasmodium est confronté à un ennemi unique, comme une drogue, par exemple, l’artemisinine pure bio. C’est cette même hypothèse qui a recommandé de mélanger des drogues de différentes activités antipaludiques, car il serait plus difficile pour le Plasmodium d’être résistant à plus d’un ennemi. C’est la base des drogues qui s’appellent ACT (Artesunate Combined Treatment).
De la même manière, la tisane est un complexe de molécules, lesquelles, même en petites concentrations, peuvent tromper la résistance. Et quelles sont ces molécules? Ce fut le but du projet de mon post doctorat, chez le docteur Y-Jacques Schneider et ses collaborateurs de l’UCL à Louvain-la-Neuve.
Nous savons bien que la question du traitement du paludisme est très complexe, car il y a la recrudescence, les asymptomatiques, la résistance. C’est pourquoi il est très important de conduire une bonne étude clinique où l’efficacité du thé puisse être bien caractérisée. Alors, en ce moment, au Brésil, nous avons décidé d’arrêter la distribution ou l’encouragement à prendre de ce thé, et nous concentrons nos efforts sur l’élaboration d’un protocole de recherche clinique sur le guide officiel de l’OMS.
Alors, on a défini un essai clinique avec 100 patients pour chaque bras, c’est-à-dire 100 personnes qui prendront de la tisane et 100 personnes qui prendront du Coarten. La recherche clinique sera randomisée et conduite dans un hôpital. Les patients seront donc acceptés selon des critères d’inclusion et d’exclusion. Il y a aussi des traitements de sauvetage et la déclaration de consentement volontaire.
Nous avons préparé un lot exclusif pour cette recherche, obtenu des plantes riches en artemisinine bio et nous n’avons pris que le sommet où le principe actif est le plus concentré.
Une bonne séparation des tiges et l’analyse du lot ont permis d’arriver aux sachets à dose précise pour être utilisés exclusivement pour les essais cliniques selon le même protocole. Pour la tisane, la couleur verte est importante, pas seulement pour l’apparence, mais surtout car la feuille verte contient de l´huile camphrée qui protège le matériel de la contamination microbiologique.
Je crois qu’un thé comme celui-ci, loin d’être un produit inférieur est, au contraire, une nouvelle génération de tisanes. En particulier, je suis très intéressé de rejoindre le groupe du Prof. Schneider à l’Université Catholique de Louvain et ses collaborateurs comme le Professeur Pierre Lutgen pour apprendre les techniques chimiques et pharmacologiques qui peuvent élucider quelles sont les molécules traversant la barrière intestinale et atteignant le plasma avec leurs propriétés thérapeutiques lorsqu’ on prend du thé d´Artemisia bio.
Les essais conduits à Université Catholique de Louvain (2008-2009)
Au-delà de la recherche elle-même sur la tisane d’Artemisia annua bio, je voudrais vous préciser que cette période en Belgique est aussi très importante pour apprendre les méthodes de la pharmacologie in vitro et l’analyse chimique, matières qui ne sont pas habituelles pour un chercheur de formation agricole. On a commencé par la vérification de la toxicité de la tisane sur les cellules Caco-2, (cellules cancéreuses du côlon), lesquelles sont utilisées comment modèle pour les tests suivants. Nous présentons quelques-uns de ces résultats.
Afin d’évaluer le pouvoir anti-inflammatoire de l’infusion d’Artemisia bio, l’inflammation étant un mécanisme lié à diverses maladies, notamment à la malaria, nous avons testé quelques tisanes obtenues à partir de différents génotypes cultivés dans différentes régions. Les tisanes ont aussi été comparées avec la même quantité d’artemisinine bio pure et les flavonoïdes qu’on trouve dans le thé.
Nous avons observé que les anti-inflammatoires peuvent être mesurés par l’inhibition d’une substance qui est sécrétée lorsque les cellules sont enflammées, l’interleukine (IL-8). Nous pouvons voir dans le tableau (Fig.15) que toutes les tisanes ont eu un pouvoir anti-inflammatoire, mais pas les substances pures. Ces résultats nous donnent une indication de l’existence d’autres composés dans le thé qui améliorent l’effet thérapeutique par rapport à celui obtenu avec les substances pures, considérées toujours comme principe actif unique.
Il est également intéressant de constater qu’il existe des différences dans le pouvoir anti-inflammatoire de chaque tisane et même sur les composants principaux.
Dans une tentative pour mettre en corrélation les principaux composés et les effets obtenus, nous avons constaté que le flavonoïde Eupatin est le seul qui est en rapport avec le pouvoir anti-inflammatoire, c’est-à-dire que c’est la tisane qui présente le plus d’Eupatin qui présente aussi la plus forte action anti-inflammatoire.
A partir de cette recherche, nous nous sommes avancés pour étudier le transport des substances de l’intestin vers le plasma. Dans cette méthode, on a simulé la paroi intestinale et en mettant la tisane d’un côté, on a pris des échantillons de l’autre côté afin de vérifier ce qui arrive au plasma.
Cette recherche n’a pas pu être évaluée par des analyses chimiques, car les valeurs étaient très faibles, mais on a pu la suivre dans le modèle des essais in vitro sur les Plasmodium à l’Université de Liège et à l’Université d’Anvers. En fait dans ce modèle on a obtenu une meilleure efficacité de la tisane pour contrôler le Plasmodium qu’avec l´artemisinine bio pure.
Ces études, et d’autres à la suite, avec la tisane d’Artemisia bio ont créé une ligne de recherche en Belgique, et un fort partenariat pour l’UNICAMP (Brésil). De ces études, qui ont pour objectif de clarifier les effets de cette formule thérapeutique potentiellement avantageuse pour le traitement du paludisme, nous pouvons déjà dire que le thé d’Artemisia bio, par sa richesse en composés actifs, est une thérapeutique basée sur un complexe d’actifs et non pas sur une seule substance. Elle est également prometteuse pour le traitement d’autres maladies (la toxoplasmose, le cancer et les maladies inflammatoires comme l´arthrite).
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La médecine chinoise a une nouvelle approche prometteuse pour le traitement du cancer.
Des scientifiques de Seattle ont montré qu’un composé extrait de l’absinthe détruit de nombreux types de cellules cancéreuses, tout en laissant intactes les cellules saines.
Dans des expériences de laboratoire, le composé appelé Artémisinine bio tue les cellules cancéreuses, rapporte le Dr Henry Lai, chercheur en bio ingénierie à l’Université de Washington.
Tout aussi important, presque toutes les cellules normales exposées étaient encore en vie.
Et un chien atteint d’ostéosarcome si sévère qu’il ne pouvait pas marcher à travers la pièce s’est complètement rétabli dans les cinq jours qui ont suivi le traitement. Les rayons X ont montré que la tumeur de l’animal « avait fondamentalement disparu », dit Lai, ajoutant qu’il croyait que le chien était encore en vie deux ans plus tard.
« Non seulement l’artémisinine bio semble être efficace, mais elle est très sélective », dit Lai. « C’est très toxique pour les cellules cancéreuses, mais c’est un impact marginal sur les cellules normales. »
D’où vient-elle?
L’artémisinine bio est extraite de la plante Artemisia annua L. bio, communément appelée armoise douce, ou armoise annuelle bio et a été utilisée il y a des milliers d’années pour le traitement du paludisme, selon Lai.
Après une « recette secrète » pour le traitement a été découvert sur une tablette en pierre dans la tombe d’un prince de la dynastie des Han Au cours d’une fouille archéologique dans les années 1970, l’artémisinine bio est réapparu comme une thérapie pour la maladie transmise par les moustiques.
En fait, une forme purifiée du composé végétal est maintenant le médicament de choix pour le traitement du paludisme dans de nombreuses régions, en particulier là où des souches résistantes à la chloroquine ont émergé.
Il y a d’autres formes de l’absinthe telle qu’Artemisia absinthium (absinthe sagewort ou l’absinthe commune) mais elles ne contiennent pas le composé actif d’artemisinine. Même les sous-espèces d’Artemisia annua peuvent contenir différentes concentrations d’artémisinine. La sous-espèce qui donne le rendement le plus élevé se trouve dans le sud-ouest de la Chine et au Vietnam.
Comment cela fonctionne
Des expériences sur les raisons pour lesquelles l’artémisinine fonctionne comme agent anti-paludisme ont conduit à ses tests en tant que médicament anticancéreux.
La clé s’est révélée être une caractéristique commune du parasite du paludisme et de la division des cellules cancéreuses: des concentrations élevées en fer. Lorsque l’artémisinine bio- ou l’un de ses dérivés – entre en contact avec le fer, une réaction chimique s’ensuit, engendrant des atomes chargés que les chimistes appellent des radicaux libres.
Dans le paludisme, les radicaux libres attaquent et se lient aux membranes cellulaires, les brisant et détruisant le parasite unicellulaire. Les cellules aussi ont besoin de fer pour répliquer l’ADN lorsqu’elles se divisent. Et puisque le cancer est caractérisé par une division cellulaire hors de contrôle, les cellules cancéreuses ont des concentrations de fer beaucoup plus élevées que les cellules normales.
Sur leur surface, les cellules cancéreuses ont également plus de récepteurs de transferrine – des voies cellulaires qui permettent l’entrée du fer – que les cellules saines.
Dans le cas du cancer, les cellules ont cinq à quinze fois plus de récepteurs de la transferrine à leur surface que les cellules normales.
L’artémisinine bio particulièrement efficace contre le cancer chez les chats et les chiens
Il y a environ sept ans, pensait Lai, pourquoi ne pas cibler les cellules cancéreuses avec un traitement antipaludique? En collaboration avec le professeur de recherche adjoint Narendra Singh, Lai a élaboré une stratégie et obtenu des fonds du Breast Cancer Fund de San Francisco. Le travail apparaît dans le numéro de novembre de la revue Life Sciences.
Recherche
Dans ses expériences, Lai soumis à des ensembles de deux cellules de cancer du sein et des cellules mammaires normales à:
Un composé connu sous le nom d’holotransferrine, qui se lie aux récepteurs de la transferrine pour transporter le fer dans les cellules et ainsi augmente encore les concentrations de fer dans les cellules.
Le tueur de cancer: Les cellules exposées à seulement l’un des composés n’ont montré aucun effet appréciable, rapporte Lai. Mais la réponse des cellules cancéreuses lorsqu’elles ont été atteintes avec la première holotransferrine, puis l’artémisinine bio, a été dramatique, dit-il. Après huit heures, les trois quarts des cellules cancéreuses ont été détruites. À peine 16 heures plus tard, presque toutes les cellules cancéreuses étaient mortes. Tout aussi important, dit-il, la grande majorité des cellules mammaires normales n’a pas montré la sécurité du traitement.
Plus de potentiel …
Le succès est particulièrement remarquable dans la mesure où des cellules cancéreuses du sein résistantes aux radiations ont été utilisées dans l’expérience, ajoute Lai.
« Cela signifie donc que cette approche pourrait fonctionner pour le cancer résistant à la thérapie conventionnelle. »
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L’artémisinine bio est un composé d’armoise annuelle bio, Artemisia annua L. Elle réagit avec le fer et forme des radicaux libres cytotoxiques qui s’accumulent dans les cellules cancéreuses et aident à les détruire. L’artémisinine est sélectivement plus toxique pour les cellules cancéreuses que les cellules normales car les cellules cancéreuses contiennent significativement plus de fer libre intracellulaire.
L’artémisinine bio peut donc tuer sélectivement les cellules cancéreuses dans des conditions qui augmentent les concentrations de fer intracellulaire. Après incubation avec holotransferrine, ce qui augmente la concentration de fer ferreux dans des cellules cancéreuses, la dihydroartémisinine, un analogue de l’artémisinine, tué efficacement les cellules du cancer humain, résistant aux rayonnements in vitro.
Le même ce traitement a considérablement moins d’effet sur les cellules humaines normales. Puisqu’il est facile d’augmenter la teneur en fer dans les cellules cancéreuses en consommant de la poudre de baobab Baomix bio, l’administration de médicaments de type artémisinine ou de poudre d’artemisia annua en gélules et de composés renforçant le fer intracellulaire peut être un traitement simple, efficace et économique contre le cancer.
La recherche montre qu’un dérivé d’artémésia bio appelé artésunate provoque une diminution dose-dépendante du nombre de cellules cancéreuses. L’artésunate était capable d’arrêter la division cellulaire à toutes les phases du cycle cellulaire. L’artemisia annua traitement sûr et sans effets secondaires contrairement à la chimiothérapie
L’artémisinine bio peut être particulièrement efficace contre le cancer du sein à récepteurs œstrogéniques positifs. Les cellules cancéreuses du sein peuvent exprimer deux types principaux de récepteurs d’oestrogène connus sous le nom de récepteur d’œstrogène (ER) alpha et ERbeta. ER alpha est plus communément exprimé dans les cellules cancéreuses du sein, alors que ER beta ne l’est pas. Le traitement des cellules cancéreuses du sein en laboratoire avec de l’artémisinine a bloqué la croissance du cycle cellulaire stimulée par les œstrogènes. L’artémisinine a fortement diminué la protéine ERalpha sans modifier l’expression ou l’activité de ERbeta. L’artémisinine change les cellules du cancer du sein humain en exprimant un rapport ERalpha: ERbeta élevé (qui causerait plus de croissance) à un état dans lequel ERbeta prédomine, ce qui diminue la croissance du cancer du sein.
Des produits à base d’armoise annuelle artemisia annua sont disponibles auprès de la société Baobab sur la boutique en ligne www.biologiquement.shop
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Qu’est-ce qu’Edgar Degas, Vincent van Gogh et Pablo Picasso ont tous en commun en dehors de leurs incroyables capacités picturales? Ces trois artistes partagent tous un amour de l’absinthe, une liqueur botanique fait d’absinthe, d’anis et de fenouil. L’absinthe est actuellement illégale aux États-Unis ainsi que de nombreux autres pays, mais il est toujours disponible en Europe.
Vous avez peut-être entendu parler de l’absinthe artemisia annua bio armoise annuelle en raison de son inclusion dans de célèbres boissons européennes, mais saviez-vous qu’elle détient également une capacité à aider dans de nombreuses pathologies de santé communes et sérieuses?
Beaucoup de gens ont entendu parler de l’absinthe insaisissable et mystérieuse, mais vous n’avez probablement pas entendu parler de ses avantages pour la santé.
C’est vrai l’absinthe artemisia annua bio armoise annuelle est en fait utilisée pour éliminer les vers intestinaux, en particulier les vers ronds et les oxyures. C’est exactement pourquoi je l’ai recommandé dans le cadre de mon nettoyage des parasites. Pourquoi l’armoise bio est-elle puissante? Eh bien, c’est grâce à son principe actif l’artémisinine, un médicament à base de la plante, tiges et feuilles, qui est l’antipaludique le plus puissant sur le marché.
Et ça ne s’arrête pas là. La recherche scientifique montre également que l’absinthe peut même tuer les cellules cancéreuses. Il peut être employé pour traiter l’anorexie, l’insomnie, l’anémie, le manque d’appétit, la flatulence, les maux d’estomac, la jaunisse et l’indigestion.
L’artemisia annua bio armoise annuelle: La super-plante contre les parasites, la maladie de Crohn et contre le cancer
L’herbe d’absinthe artemisia annua bio armoise annuelle est utilisée dans les boissons alcoolisées, l’étoile d’absinthe est même mentionnée dans la bible. Vraiment une plante intrigante, mais cette herbe peut-elle vraiment tuer les parasites et le cancer? Les études disent oui, et les effets médicinaux positifs continuent à venir.
4 avantages de l’artemisia annua bio armoise annuelle
1. Contre de paludisme
Le paludisme est une maladie grave causée par un parasite transmis par la piqûre de moustiques infectés et qui envahit les cellules sanguines du méthalolisme humain. L’artémisinine est un extrait de la plante Artemisia annua bio, ou absinthe douce. L’artémisinine est un principe actif médicinal qui est l’antipaludique le plus puissant sur le marché. Il est connu pour réduire le nombre de parasites dans le sang des patients atteints de paludisme. L’Organisation mondiale de la santé recommande les associations thérapeutiques à base d’artémisinine comme traitement de première intention du paludisme.
Des expériences récentes ont montré que l’artémisinine est efficace contre le parasite du paludisme parce qu’elle réagit avec les niveaux élevés de fer dans le parasite pour produire des radicaux libres. Les radicaux libres détruisent alors les parois cellulaires du parasite du paludisme.
2. L’artemisia annua bio armoise annuelle tue les cellules cancéreuses
Selon des études récentes, l’artémisinine peut tuer les cellules cancéreuses enrichies en fer de la même façon qu’elle tue les parasites causant le paludisme, ce qui en fait une option naturelle de traitement du cancer pour les femmes atteintes d’un cancer du sein par exemple.
Les cellules cancéreuses peuvent également être riches en fer puisqu’elles l’absorbent habituellement pour faciliter la division cellulaire. Les chercheurs d’une étude de 2012 ont testé des échantillons de cellules mammaires cancéreuses et de cellules mammaires normales traitées pour maximiser leur teneur en fer. Les cellules ont ensuite été traitées avec une forme hydrosoluble d’artémisinine, un extrait d’absinthe.
Les résultats étaient assez impressionnants. Les cellules normales ont montré peu de changement, mais dans les 16 heures, presque toutes les cellules cancéreuses étaient mortes. Le docteur Henry Lai croit que parce qu’une cellule de cancer du sein contient cinq à 15 plus de récepteurs que la normale, elle absorbe le fer plus facilement et est donc plus sensible à l’attaque de l’artémisinine.
3. Se débarrasse des parasites
L’absinthe artemisia annua bio armoise annuelle est utilisée pour éliminer les vers intestinaux, en particulier les oxyures et les vers ronds. Les oxyures sont l’infection par le ver la plus commune en Europe avec des œufs infectés. Les vers ronds, ou nématodes, sont des parasites qui infectent aussi les intestins humains. Oxyures peuvent provoquer des démangeaisons extrême dans la région anale tandis que les ascaris peuvent causer la toux, l’essoufflement, des douleurs abdominales, des nausées et de la diarrhée, du sang dans les selles, perte de poids.
Les parasites ne sont jamais une bonne chose, mais heureusement, ils sont traitables avec des remèdes naturels. L’artemisia annua bio est couramment utilisés pour stopper une infection parasitaire.
4. Contre la maladie de Crohn
En Allemagne, une étude en double aveugle a prouvé l’efficacité d’un mélange d’herbes contenant de l’absinthe artemisia annua bio armoise annuelle à une dose de 500 milligrammes trois fois par jour par rapport à un placebo sur 10 semaines
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Résumé et points clés
L’Artemisia annua bio est une plante contenant des composés chimiques ayant une activité anticancéreuse.
Il y a actuellement beaucoup de preuves chez les humains pour soutenir l’utilisation de Artemisia annua bio contre le cancer.
L’Artemisia annua est considéré comme un traitement sûr et sans effets secondaires contrairement à la chimiothérapie.
L’Artemisia annua L. est un type commun d’absinthe qui appartient à la famille des Asteraceae. elle est originaire de l’Asie tempérée mais cultivée dans le monde entier.
L’artémisinine est un des principes actifs de Artemisia annua bio. L’artémisine et ses dérivés semi-synthétiques de l’artémisinine (dont la dihydroartémisinine, l’artésunate, l’artéméther et l’artéméther) sont aussi utilisés pour la production de thérapies combinées pour le traitement du paludisme (ACT = Therapy Combination à base d’artémisinine).
Des études sur des animaux ont depuis longtemps révélés que l’artémisinine et les composés apparentés inhibent la croissance tumorale et les métastases.
Il y a beaucoup de preuves d’essais cliniques qui démontrent les effets anticancéreux pour les patients atteints de cancer.
Les expériences de traitement du paludisme indiquent une bonne tolérance des médicaments à base d’artémisinine.
Qu’Est-ce que c’est?
L’Artemisia annua bio, aussi connu comme l’armoise annuelle et l’absinthe annuelle (chinois: qīnghāo), est un type commun d’absinthe artemisia annua bio armoise annuelle originaire d’Asie tempérée mais cultivée dans le monde entier. Elle appartient à la famille des Asteraceae et a des feuilles ressemblant à des fougères, des fleurs jaune vif et un parfum de camphre. Des structures glandulaires (trichomes) produisant une large gamme de composés bioactifs (principalement des terpénoïdes) peuvent être trouvées à la surface des feuilles, des tiges et des fleurs.
Artemisia annua traitement sûr et sans effets secondaires contrairement à la chimiothérapie
La composition phytochimique de Artemisia annua bio a été revue en détail par de nombreux scientifiques. Les composés les plus importants sont les ses quiterpénoïdes (ex: artémisinine), les triterpénoïdes, les flavonoïdes (flavonoïdes polyméthoxylés), les chromènes et les composants d’huiles essentielles.
Le contenu d’un extrait de Artemisia annua bio dépend du solvant utilisé pour l’extraction. Les extraits d’Aqeous semblent contenir moins de flavonoïdes polyméthoxylés que les extraits d’alcool, mais ils contiennent une grande quantité d’acides mono-caffeoyl- et mono-feruloyl-quiniques, di-caffeoyl- et di-féruloyl-quiniques. Les extraits alcooliques semblent contenir le plus grand potentiel antioxydant. De plus, les flavonoïdes, la casticine et l’artémétine, qui ont montré une synergie avec l’artémisinine contre le paludisme, sont moins extraits dans les extraits aqueux.
Outre l’Artemisia annua bio lui-même, ce résumé passe également en revue la littérature actuelle sur l’artésunate, la dihydroartémisinine et l’artéméther, qui sont des dérivés semi-synthétiques de l’artémisinine. Beaucoup plus de recherches ont été publiées sur l’effet de ces composés que sur l’artémisinine elle-même. Arteether, un autre dérivé semi-synthétique qui a été utilisé dans le traitement antipaludique n’a pas été l’objet de la recherche anticancéreuse à ce jour.
Application et dosage
Il n’y a pas de dose sûre ou efficace documentée pour l’utilisation possible de produits dérivés de l’Artemisia annua bio pour le traitement du cancer chez l’adulte ou l’enfant. La pharmacopée chinoise énumère l’herbe sèche comme remède contre la fièvre et le paludisme. La dose quotidienne décrite est de 4,5 à 9 grammes d’herbe séchée à préparer en infusion de thé avec de l’eau bouillante.
Ou prendre 4 à 6 gélules de 250mg par jour.
La teneur en artémisinine varie de 1,4% à 2% du poids sec. De plus, l’artémisinine et ses dérivés semi-synthétiques sont utilisés dans le traitement antipaludéen dans les associations médicamenteuses à base d’artémisinine, avec des doses quotidiennes comprises entre 100 et 200 mg.
Histoire
L’Artemisia annua bio était utilisé par les herboristes chinois dans les temps anciens pour traiter des fièvres, mais était oublié jusqu’à ce qu’il soit redécouvert en 1970 lorsque le Manuel chinois des prescriptions pour les traitements d’urgence (340 AD) a été republié. Cette ancienne pharmacopée contenait une recette pour un thé à partir des feuilles séchées d’Artemisia annua bio à utiliser en cas de fièvres. En 2010, il a été découvert que l’Artemisia annua bio a déjà été cité dans les premières prescriptions médicales chinoises, les textes de la tombe Mawagndui datant de 168 av.
Là, il est prescrit pour les hémorroïdes et comme tonique sexuel, mélangé avec d’autres herbes, y compris la cannelle et le gingembre, et administré dans de l’urine bouillie. En 1971, les scientifiques ont démontré que les extraits végétaux avaient des propriétés antipaludiques et anticancers.
Mécanisme d’action anti-cancer
L’artémisinine, l’endoperoxyde naturel d’Artemisia annua bio, et ses dérivés semi-synthétiques, la dihydroartémisinine, l’arthéméther, l’artéther et l’artésunate, sont considérés comme les principaux constituants actifs de l’activité antipaludique et anticancéreuse. Les polyméthoxyflavonoïdes sont également indiqués comme composés importants activité anticancéreuse.
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